Dans le cadre de la Convention sur la diversité biologique (CDB) et du Protocole de Nagoya, les Parties doivent s'assurer que des accords sont conclus entre utilisateurs ( e.g. entreprises) et fournisseurs ( e.g. communautés) de ressources génétiques, portant sur les conditions d'accès ( bioprospection) et d'utilisation (activités de recherche et de développement) de la ressource génétique ou de la connaissance traditionnelle associée, ainsi que sur les modalités d'un partage juste et équitable des avantages découlant de cette utilisation. Pour beaucoup, ces accords d'accès et de partage des avantages (APA) pourront notamment permettre de financer la conservation de la biodiversité. Mais qu'en est-il vraiment, un an après l'entrée en vigueur du Protocole ?
Authors:
Pirard, R.; Lapeyre, R.
Subjects:
biodiversity, finance
Publication type:
Journal Article, Non-ISI, Publication
Year:
2016
ISSN:
0840-7827